Thomas Pannequin

Thomas est originaire de Douai. Il est, depuis toujours, un grand lecteur de littérature fantastique et a commencé à écrire sur les bancs du collège de nombreuses nouvelles, avec la peur comme sujet de prédilection.

Inspiré par les maîtres du genre comme Stephen King ou Lovecraft, il écrit en utilisant les codes de l’horreur et de l’angoisse pour nous faire plonger au fin fond de nos frayeurs.

En jouant sur les peurs d’enfant, il sait nous replonger dans des mémoires enfouies et remuer d’angoissants souvenirs.

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Thomas est…

Le rêve joue un rôle essentiel dans mon écriture. On a tous connu ses sensations au petit matin après une nuit agitée embrumée par des rêves bizarres, noirs effrayant ou non, ou l’on ne sait pas encore bien si l’on a totalement rêvé ou s’ il y avait encore une part de vérité. Je m’en inspire beaucoup et j’essaye tant bien que mal de le retranscrire dans mes écrits. 

Je m’en abreuve car l’esprit sait nous jouer des tours et en jouant avec nos peurs, nos angoisses les plus profondes…

Depuis très jeune j’ai été accroc au maître du genre, Stephen King (même s’il y en a d’autres bien sûr) et forcément mes écrits s’en ressentent. Depuis, je ne l’ai jamais quitté.

Mais, j’ai voulu, plus grand, comprendre d’où pouvait-il, lui même, tenir cet amour du fantastique et c’est là ou j’ai découvert l’immense Lovecraft et son incroyable capacité à avoir recréé de toutes pièces une réalité, réaliste, alternative.

D’un côté Stephen King et sa capacité à vous projeter, vous ancrer dans son histoire et de l’autre Lovecraft qui vous montre les recoins les plus noires de l’âme, de l’esprit et de la folie humaine.

Comment ne pas devenir fan ! 

Des dizaines de débuts d’histoires, des centaines d’idées qui se projettent dans mon cerveau.

Depuis tout petit, avec mes soldats, mes playmobils, ou plus tard derrière mon écran d’ordinateur, j’aimais me créer, ,me raconter des histoires. M’imaginer, me projeter au travers de mes héros (Macgyver, Indiana jones…) et moi aussi trouver le trésors ou résoudre l’énigme… Rever peut-etre mais je préfère me définir comme un grand enfant qui vit avec son imagination, au grand dam des vieux qui m’entourent…

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